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 Padmé Amidala Naberrie

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Nausicaa
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MessageSujet: Padmé Amidala Naberrie   Padmé Amidala Naberrie Icon_minitimeDim 22 Oct - 18:37

Padmé Amidala Naberrie


Padmé Amidala Naberrie Padm8df8


Race : Humaine
Taille : 1,65 m
Origine : Naboo


I. Une enfance paisible et studieuse (-46 à -32) :

Padmé Naberrie naquit dans un petit village de montagne de Naboo quarante-six ans avant la Bataille de Yavin. Ses parents, Ruwee et Jobal vivaient modestement et avaient déjà une fille de quatre ans, Sola. Alors que Padmé était encore très jeune, son potentiel élevé fut repéré et les Naberrie décidèrent alors de quitter leur village pour s’installer dans la capitale, Theed, où leurs deux filles pourraient recevoir la meilleure éducation possible. Padmé vécut une enfance heureuse, auprès de parents aimants et Sola, qui était pour elle autant une soeur qu’une amie intime. Ruwee et Jobal Naberrie lui inculquèrent la générosité, la compassion et le sens du dévouement. Les Naberrie possédaient une modeste demeure dans Theed dont ils firent un foyer chaleureux, ainsi qu’une résidence secondaire, Varykino, dans la Contrée des Lacs où Padmé fit plusieurs retraites durant son enfance.

A l’âge de sept ans, Padmé rêvait de suivre les traces de son père et de travailler comme lui au sein du Mouvement d’Aide aux Réfugiés. Dans le cadre de l’oeuvre humanitaire, la fillette se rendit sur Shadda-Bi-Boran pour participer à la délocalisation des autochtones avant que leur soleil n’explose. La jeune Padmé s’attacha tout particulièrement à l’un des enfants, N’a-kee-tula, mais malheureusement celui-ci ne tarda pas à mourir, incapable comme la plupart des siens de s’adapter ailleurs que sur leur monde natal. La jeune Padmé en conçut un grand chagrin et ressentit sans doute pour le première fois de sa vie un fort sentiment d’impuissance. Peu après, Padmé découvrit la politique à l’école et elle y vit un moyen d’agir. Elle fut dès lors persuadée que ce n’était qu’au niveau politique que les choses pouvaient être changées. A l’âge de huit ans, la fillette entra donc dans le Programme de la Législature pour les Jeunes et devint apprentie législatrice à onze ans. Ce fut dans le cadre de sa formation qu’elle rencontra à douze ans un jeune garçon du nom de Palo pour qui elle éprouva ses premiers émois. L’amourette tourna vite court : alors que le garçon préférait se tourner vers une carrière artistique, Padmé se vit bientôt confier de grandes responsabilités et se consacra dès lors corps et âme à la politique.

En effet, elle devint vers l’âge de douze ans conseiller sénatorial et princesse de Theed. Ce poste correspondait chez d’autres cultures au poste de maire d’une ville. Suivant la tradition Naboo, Padmé Naberrie prit alors un nom d’Etat, celui d’Amidala. Durant son mandat de princesse de Theed, Padmé se distingua par sa sagesse et la fermeté de ses convictions politiques, en opposition avec la politique du monarque de Naboo de l'époque. De ce fait, les opposants au régime politique du roi Veruna se rallièrent autour de la jeune fille. Deux ans plus tard, le roi Veruna abdiqua au terme d’un règne prolongé de treize ans, suite à un scandale. Encouragée par ses partisans, Padmé se présenta alors pour lui succéder et entama sa campagne politique, assurant des meetings à travers Naboo. Sa popularité et son opposition à la politique du roi Veruna lui assura une victoire écrasante. En effet, elle fut élue au terme d’un vote électronique global qui dura moins de quatre minutes.


II. Reine de Naboo (-32 à -24) :

C’est ainsi qu’à quatorze ans, Amidala devint reine de Naboo. Même si elle n’était pas la plus jeune reine qu'ait connu Naboo, on la considérait comme très capable que ce soit sur Naboo ou sur Coruscant. Dès le début de son règne, Amidala montra son attachement aux traditions de sa planète par son maquillage traditionnels et ses tenues somptueuses et recherchées. En effet, selon la tradition Naboo, son visage était entièrement maquillé en blanc, ce qui formait un contraste saisissant avec les deux grains de beauté stylisés rouges sur ses joues soulignant la symétrie et la marque du souvenir, également rouge, qui barrait sa lèvre inférieure et qui rappelait la souffrance de Naboo avant la Grande Ere de Paix. Amidala marquait ainsi son attachement aux traditions et à la paix. Le capitaine Panaka, le nouveau responsable de la sécurité royale, encouragé par son traditionalisme, insista auprès de la jeune reine pour restaurer une très ancienne tradition : la reine serait toujours accompagnée de suivantes pour lui servir à la fois de compagnes, de doublures et de gardes du corps au besoin. La prudente Padmé accepta cette mesure de précaution qui lui permettait en outre de pouvoir se déplacer incognito dans Theed.

Panaka recruta alors cinq jeunes filles pour leur ressemblance avec la reine : Sabé, Eirtaé, Saché, Yané et Rabé, ainsi que pour leurs qualités intellectuelles et physiques. Il leur fit suivre un entraînement au combat au corps à corps et au maniement des armes légères, auquel la reine obtient de participer sous son vrai nom. Au cours de cet entraînement, Padmé noua des liens très forts avec ses suivantes et lorsqu’elle leur révéla sa véritable identité, elle gagna leur amitié et leur fidélité. Les suivantes, qui portaient des tenues simples avec des capuches tombantes pour cacher leur ressemblance avec la reine et contraster avec la splendeurs des vêtements de celle-ci, lui rendaient différents services. Outre la protection de la reine, elles avaient différentes attributions plus quotidiennes : elles aidaient la reine à s’habiller et se coiffer, la conseillaient sur des questions de protocole, etc.

Six mois après son élection, Amidala dut faire face à une situation de crise. En effet, la Fédération du Commerce avait entreprit le blocus de Naboo pour protester contre la taxation des routes commerciales. Amidala garda son sang-froid face à la menace et contacta Coruscant dans l’espoir que le Sénat leur évite une guerre qui serait catastrophique pour la pacifique Naboo et contraire à toutes les valeurs de ce monde. Alors que le sénateur Palpatine lui assurait que le Chancelier avait envoyé des ambassadeurs pour débouter les Neimoidiens, la communication fut interrompue. Sentant une attaque imminente, Panaka mit en place un leurre. Alors que Sabé se déguisait en Amidala, la reine devenait la suivante Padmé. Les volontaires des modestes Forces Royales de Sécurité de Naboo furent rapidement submergés et la Fédération du Commerce s’empara du palais et de ses occupants. Les Neimoidiens capturèrent la fausse reine et sa suite dans l’intention de lui faire signer un traité qui légaliserait leur occupation de la planète. Devant la refus de la reine, "Amidala" et son entourage furent transférés vers un camp d’internement, mais ils s’échappèrent grâce à l’intervention des ambassadeurs Jedi : Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi. Sur le conseil de Padmé, la "reine" accepta de se rendre sur Coruscant pour plaider sa cause au Sénat. Les Jedi et une partie de la suite d’Amidala quittèrent Naboo à bord de sa Nef royale sous le feu ennemi et ne durent leur survie qu’à l’astuce d’un droïde astromécano nommé R2-D2.



Malheureusement, l’hyperdrive de la nef royale fut endommagé et les Jedi décidèrent de se poser sur Tatooine, une planète désertique contrôlée par les Hutts. Curieuse de découvrir ce monde inconnu, Padmé imposa sa présence à Qui-Gon Jinn en prétextant un ordre de la reine. Ce fut là, dans l’atelier de Watto, que la jeune fille rencontra un jeune esclave du nom d’Anakin Skywalker. Padmé était loin de se douter que désormais leurs destins seraient liés. Sur Tatooine où prévalait la loi du plus fort et où l’esclavage existait toujours, Padmé comprit sans doute ce qu’impliquait l’inexistence de la démocratie et fut plus attachée que jamais à ses valeurs politiques. Malgré sa désapprobation, Qui-Gon misa tout ce qu’ils possédaient sur la victoire hypothétique d’Anakin lors de la dangereuse course de la Boonta. Contre toute attente, le jeune garçon remporta la victoire et gagna sa liberté, ce qui lui permettait de pouvoir se présenter devant le Conseil des Jedi pour obtenir le droit d’être formé. Mais une fois dans l’espace, l’enthousiasme d’Anakin fut rattrapé par le froid de l’espace et l’absence de sa mère. Bien qu’elle soit personnellement préoccupée à cause d’un message inquiétant de Sio Bibble, Padmé fit de son mieux pour le réconforter. L’enfant lui offrit alors un porte-bonheur en ivoire de jabor qu’il lui avait fabriqué et qui devint un de ses plus précieux trésors.

Sur Coruscant, "Amidala" fut accueillie par le Chancelier Valorum et le sénateur Palpatine. La jeune fille cessa bientôt d’être Padmé pour redevenir la reine de Naboo et lorsqu’Anakin vint lui dire adieu, il ne reconnut pas son amie dans la majestueuse reine de Naboo. Prétextant que Padmé était en mission pour elle, la souveraine reçut Anakin et lui transmit les encouragement de sa "suivante" pour sa rencontre avec le Conseil Jedi. A son grand désespoir, Amidala comprit très vite que la situation dramatique dans laquelle se trouvait son peuple était loin d’être une question capitale pour le Sénat, gangrené par la corruption et les lenteurs de la bureaucratie. Pour beaucoup de sénateurs, Naboo n’était qu’une petite planète qui ne jouissait d’aucune influence sur Coruscant et dont le représentant était un politicien peu ambitieux et modeste. Amidala eut à peine exposé son cas devant le Sénat que le représentant de la Fédération du Commerce récusa ses affirmations. Alors que le débat s’envenimait, Valorum demanda l’ajournement de la séance et proposa la création d’un comité pour estimer le sérieux de la situation. Mais Amidala avait douloureusement conscience que pendant que les sénateurs débattraient durant des mois en discussions stériles, son peuple souffrirait et mourrait. Manipulée par Palpatine et frustrée face à l’immobilisme du Sénat, Amidala déposa alors une motion de censure à l’encontre du Chancelier Valorum.

Plus tard, Amidala accueillit avec une certaine indifférence la nouvelle que Palpatine faisait partie des favoris pour succéder au Chancelier, persuadée que c’était maintenant que Naboo devait être libérée et qu’elle devait pour cela prendre les choses en main elle-même. Elle repartit donc pour son monde, en compagnie des Jedi, de Jar Jar Binks et d’Anakin. A bord de la nef royale, Qui-Gon Jinn lui fit part de ses doutes. En effet, en tant que Jedi, son rôle était de la protéger, non de mener une guerre pour elle. Mais Amidala ne comptait pas sur l’aide des Jedi mais sur celles de l’autre peuple de Naboo, ayant découvert par Jar Jar Binks que les Gungans possédaient une Grande Armée. Elle était déterminée à rencontrer les Gungans et à conclure avec eux une alliance pour chasser la Fédération du Commerce de leur planète commune. Avant de quitter son vaisseau, Amidala changea une nouvelle fois d’apparence avec Sabé et lorsque sa suivante montra des difficultés à convaincre Boss Nass, Padmé choisit de révéler à tous qu’elle était la véritable reine Amidala. Impressionné par sa franchise et convaincu de sa détermination, le chef des Gungans accepta alors de l’aider.




Ensemble, ils mirent au point un plan pour mettre fin au blocus de la Fédération du Commerce. Pendant que l’Armée Gungan attirerait les armées droïdes loin de la capitale, Padmé et ses hommes s’infiltreraient dans le palais par des passages secrets et captureraient le vice-roi Nute Gunray. Une fois celui-ci prisonnier, ils étaient convaincus de pouvoir obtenir la désactivation des droïdes à partir du vaisseau du vice-roi. Le plan manqua d’échouer lorsque Padmé et Panaka furent capturés et conduits devant le vice-roi dans la salle du trône, mais une apparition de Rabé dans sa tenue de reine guerrière créa une diversion qui permit à la véritable reine de s’emparer de blasters dissimulés dans le trône royal. Après avoir éliminé ses droïdes de guerre, Amidala captura le vice-roi et le força à mettre fin au conflit. Mais la victoire sur la Fédération eut un coût et Amidala fut attristée d’apprendre la mort de Maître Qui-Gon Jinn des mains d’un Sith. Afin d’assister aux funérailles du Maître Jedi, Palpatine, fraîchement élu Chancelier Suprême, et le Conseil Jedi arrivèrent sur Naboo. Suite à la Bataille de Naboo, Amidala fut plus populaire que jamais : elle avait libéré son peuple et conclu une alliance historique avec les Gungans. Au cours des années suivantes, elle régna avec sagesse sur Naboo et fut réélue sans surprise pour un second mandat de quatre ans.

A la fin de son second mandat, Amidala jouissait d’une telle popularité que le peuple de Naboo demanda que soit voté un amendement à la constitution pour lui permettre de régner plus longtemps, comme ce fut le cas du roi Veruna. Mais la jeune femme éprouvait un trop grand respect pour la démocratie pour accepter une telle chose et refusa de se représenter. Sa mère, Jobal Naberrie, éprouva un immense soulagement à cette nouvelle et eut l’espoir que sa fille cadette vivrait enfin sa vie de femme en se mariant et en ayant des enfants. Elle estimait en effet que sa fille avait consacré une grande partie de sa vie à la politique et qu’elle méritait de prendre sa retraite. Quand à Padmé, il semble qu’elle voulait vivre ce point de vue et connaître l’amour. Le bonheur simple de sa soeur Sola lui rappelait que l’on pouvait mener aussi une vie heureuse en se mariant et en fondant une famille. Elle adorait ses nièces Ryoo et Pooja et désirait avoir ses propres enfants. Mais lorsque la nouvelle reine de Naboo, Jamillia, lui demanda de représenter Naboo au Sénat de la République, la jeune femme accepta aussitôt, convaincue de pouvoir se rendre utile aux Naboos et à la démocratie en se rendant sur Coruscant.


P.S: suite sur le prochain post


Dernière édition par le Mar 24 Oct - 18:50, édité 1 fois
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Nausicaa
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MessageSujet: Re: Padmé Amidala Naberrie   Padmé Amidala Naberrie Icon_minitimeDim 22 Oct - 18:41

III. Sénatrice du Secteur de Chommell (-24 à -19) :

A 22 ans, Padmé commença une nouvelle vie en représentant 366 mondes d’un secteur lointain et isolé du Noyau, dont sa planète natale. Panaka étant au service de la nouvelle reine, Padmé avait pour chef de la sécurité le neveu de celui-ci, le capitaine Typho. Ce dernier choisit de garder une méthode qui avait fait ses preuves en recrutant de nouvelles suivantes : Cordé, Dormé et Versé. En remerciement de ses années au services de Naboo, la reine Jamillia lui fit construire un croiseur royal de type-G pour ses voyages et lui accorda le privilège que la coque du croiseur soit chromée, couleur réservée aux transports royaux sur Naboo. Padmé avait pour suppléant un représentant gungan, Jar Jar Binks. Au cours des années qui s’étaient écoulées depuis la Bataille de Naboo, Padmé était devenue une jeune femme très séduisante. N’étant plus reine, elle pouvait désormais porter des robes moins imposantes et ne fardait plus son visage avec ostentation. Padmé préférait porter des robes simples et élégantes, ainsi que plus féminines, et des coiffures moins élaborées que durant son règne.

Alors que celle qu’on appelait désormais la sénatrice Padmé Amidala entamait son mandat, la République connut une crise majeure. En effet, un ancien Jedi, le Comte Dooku, critiquait la corruption de la République et ralliait des systèmes stellaires sous sa bannière, créant ainsi la Confédération des Systèmes Indépendants. Pour préserver la République face à la crise du séparatisme, Palpatine, dont le mandat arrivait à son terme, obtint une extension de celui-ci tant que durerait la crise. De plus en plus de systèmes rejoignaient la Confédération des Systèmes Indépendants tandis que certains sénateurs loyalistes demandaient que soit voté la création d’une armée de la République pour renforcer les maigres forces de sécurité Judiciaires. La sénatrice Padmé Amidala, qui partageait son temps entre Naboo et Coruscant, faisait partie du parti loyaliste à la République et était également une des opposantes les plus fermes à la loi sur la création d’une armée de la République. Aux yeux de beaucoup de personnes, elle incarnait l’opposition à ce projet de loi.



Convaincue que le vote de cette loi s’assimilait à une déclaration de guerre et que seule la voie diplomatique pouvait mettre fin à la sécession au sein de la République, Padmé était profondément engagé dans cette cause. Son rôle de premier plan inquiétait ses parents et régulièrement sa mère tentait de faire comprendre à sa fille avec plus ou moins de subtilité qu’elle devrait quitter la vie politique pour vivre sa vie de femme. Quand à Sola Naberrie, elle était persuadée qu’une fois ce problème réglé, Padmé trouverait une autre cause tout aussi importante pour elle et qu’elle s’y consacrerait corps et âme au détriment de sa vie personnelle. 22 ans avant la Bataille de Yavin, Padmé se rendit sur Coruscant pour participer au vote. Par prudence, le capitaine Typho décida d’utiliser le procédé qui avait fait ses preuves durant le blocus de Naboo. Alors que Typho et Padmé, déguisée en pilote et secondée par le fidèle R2-D2, pilotaient des chasseurs N-1, une des suivantes de la sénatrice se faisait passer pour elle à bord du croiseur. A peine Typho eut-il exprimé son soulagement sur le déroulement du voyage qu’une bombe explosa alors que les passagers descendaient du vaisseau. Padmé se précipita vers sa doublure, une jeune femme du nom de Cordé, juste à temps pour recueillir ses derniers mots. La jeune femme fut très touchée par sa mort et celle des membres de sa suite, assassinés dans un attentat contre sa personne.

Alors que Palpatine annonçait devant le Sénat que la sénatrice de Naboo avait trouvé la mort dans un attentat, provoquant une vive émotion et des applaudissements, une Padmé bien vivante s’avança vers le centre du Sénat dans sa nacelle. La jeune femme appela au calme et se déclara plus fermement que jamais opposée au vote d’une loi qui mènerait à la guerre. L’intuition de Padmé lui souffla alors que les commanditaires de cette tentative d’assassinat n’étaient pas à rechercher parmi les partisans de la loi mais au contraire parmi ceux qui, logiquement, ne chercheraient pas sa mort. Plus tard, Padmé et d’autres Loyalistes se rendirent dans le bureau du Chancelier Suprême où se trouvaient déjà plusieurs Maîtres Jedi. Alors que Maître Yoda lui disait être heureux de sa survie, Mace Windu l’informa que leurs soupçons se tournaient vers des mineurs d’épice des lunes de Naboo mécontents. Mais ni Padmé, ni Typho ne pensaient que ces personnes pouvaient être derrière un acte aussi violent.

A la surprise de tous, la sénatrice révéla alors que pour sa part elle soupçonnait le Comte Dooku d’être l’instigateur de l’attentat. Mace Windu et Ki-Adi-Mundi récusèrent totalement une telle hypothèse, persuadés que l’ancien Jedi était incapable d’une telle perfidie. Quant à Yoda, il ne prit pas position, il savait que les choses ne sont pas toujours telles qu’elles paraissent être, mais il était par contre persuadé d’une chose : Padmé était toujours en danger. Palpatine demanda alors aux Maîtres Jedi d’assurer sa protection. L’indépendante Padmé se montra très réticente, mais finit par céder devant l’apparente inquiétude du Chancelier pour qui elle éprouvait une grande amitié et le choix d’un Jedi de sa connaissance : Obi-Wan Kenobi. Bien qu’on lui ait forcé la main, Padmé fut ravi de retrouver le Maître Jedi qu’elle n’avait pas vu depuis près de dix ans. Elle ne jeta d’abord qu’un regard rapide au Padawan qui l’accompagnait, mais lorsqu’elle le regarda plus attentivement pour le saluer, Padmé eut la grande surprise de reconnaître en lui le petit garçon de Tatooine. Anakin Skywalker était à présent un jeune homme séduisant et athlétique qui avait du mal à dissimuler sa joie de la revoir et l’attirance qu’il ressentait pour elle. Padmé fut amusée de son trouble, puis leur affirma qu’elle n’avait pas besoin de protection supplémentaire mais de connaître les instigateurs de l’attentat. Alors qu’Obi-Wan lui déclarait que cela ne faisait pas partie de sa mission, Anakin intervint et, avec l’enthousiasme de la jeunesse, affirma qu’ils trouveraient les instigateurs de l’attentat.



Durant la nuit, Padmé fut gênée par le regard scrutateur que le Padawan portait sur elle et choisit de voiler la caméra de sa chambre. Pour le rassurer, elle prit R2-D2 avec elle pour qu’il surveille sa chambre à intervalles réguliers. Mais le petit droïde ne pu voir les deux kouhuns venimeux qui la menaçait et Padmé ne dut sa survie qu’à l’intervention des deux Jedi. Les Jedi poursuivirent et neutralisèrent la chasseuse de primes responsable, mais celle-ci travaillait pour un de ses collègues et ignorait l’identité du véritable commanditaire des attentats. Zam Wesell fut éliminée avant d’avoir révélé le nom du chasseur de primes. La menace qui planait sur sa vie était de plus en plus évidente et, à contrecœur, Padmé se rendit sur Naboo avec Anakin pour se mettre en sécurité pendant qu’Obi-Wan menait l’enquête. Accompagnés de R2, ils se firent passer pour des réfugiés et utilisèrent un transport du Mouvement d’Aide aux Réfugiés qui les emmena jusqu'au spatioport de Theed.

Jusqu’à leur arrivée au palais de Theed, Padmé et Anakin se parlèrent beaucoup, de leurs vies et de leurs rêves. La jeune femme lui confia même qu’elle avait été prête à quitter la vie politique et laissa même échapper qu’elle espérait un jour pouvoir fonder une famille. Lors de son entrevue avec la reine Jamillia, Padmé lui fit un rapport de la situation concernant les Séparatistes et l’informa qu’elle avait l’intention de se rendre dans la Contrée des Lacs où elle serait en sécurité. Anakin fut visiblement vexé qu’elle prenne les choses en main sans lui demander son avis, mais Padmé estimait être plus à même de trouver une cachette sur sa propre planète. Ensuite, les deux jeunes gens se rendirent chez la famille Naberrie où Anakin fit la connaissance de ses parents, Ruwee et Jobal, de sa sœur aînée Sola et de ses nièces, Ryoo et Pooja. Pour ne pas inquiéter ses parents, Padmé choisit de minimiser le danger qui planait sur elle, mais son père la connaissait bien et il préféra interroger le Jedi qui, à son grand déplaisir, la dépeignit dans une situation critique.

Sa soeur la taquina durant le repas en déclarant qu’Anakin était le premier petit ami qu’elle ramenait chez leurs parents. Les dénégations trop vives de Padmé et les regards brûlants que lui lançait le Jedi ne firent que renforcer l’opinion de Sola : des sentiments amoureux étaient en train de naître entre ces deux êtres. Plus tard, Sola tenta de faire comprendre à Padmé qu’ils étaient en train de tomber amoureux, mais sa soeur nia, persuadée que Sola s’imaginait des choses. Mais un sourire de sa mère fit chanceler les certitudes de Padmé. Padmé et Anakin se rendirent ensuite dans la demeure secondaire des Naberrie dans la Contrée des Lacs. Varykino était un lieu magnifique et dans ce cadre romantique, les deux jeunes gens se rapprochèrent de plus en plus et échangèrent un premier baiser. Mais lorsque Anakin avoua à Padmé l’intensité de sa passion, la jeune femme choisit d’être raisonnable pour deux et se montra très ferme envers lui : il n’y avait aucun avenir possible pour eux. Il était un Jedi, elle un personnage politique important et leur devoir passait avant tout. Lorsque le jeune homme lui suggéra de s’aimer en secret, Padmé ne put envisager cette possibilité. Elle était trop franche, trop honnête pour vivre dans la dissimulation et elle était convaincue qu’une telle situation finirait par les détruire.



Depuis plusieurs mois, Anakin était torturé par des cauchemars concernant sa mère, et après une nuit plus agitée que jamais, il décida de retourner sur Tatooine. Padmé décida de l’accompagner et ils se rendirent tous deux sur la planète désertique où ils s’étaient rencontrés. Là, ils découvrirent que Shmi Skywalker n’était plus esclave et qu’elle avait épousé un fermier du nom de Cliegg Lars. Malheureusement, ils apprirent de la bouche de son époux qu’elle avait été enlevée par des pillards Tuskens plusieurs semaines auparavant. Persuadé qu’elle était en vie, Anakin partit dans une quête désespérée pour la retrouver. Le lendemain matin, le Padawan ramena le corps sans vie de sa mère et avoua à Padmé qu’il avait massacré toute la tribu d’Hommes des Sables pour venger la mort de sa mère. La jeune femme tenta de le réconforter en lui disant qu’il était naturel de céder à la colère, sans saisir le danger que cela représentait pour un Jedi. Peu après les funérailles de Shmi, R2-D2 leur transmit un message alarmant d’Obi-Wan depuis Géonosis. Anakin brûlait d’envie de partir le sauver mais reçut l’ordre formel de rester auprès de Padmé. L’audacieuse jeune femme décida alors d’aller sauver le Maître Jedi ce qui permettait à Anakin de ne pas désobéir aux ordres en l’accompagnant.

Mais leur tentative de sauvetage fut un échec total et Padmé faillit connaître un fin atroce dans l’usine de droïdes de Géonosis. Elle fut heureusement sauvée par R2-D2, mais uniquement pour être capturée ainsi qu’Anakin par les Séparatistes. Le Comte Dooku tenta de la convaincre de rejoindre la Confédération, mais la sénatrice demeura ferme et exigea la libération d’Obi-Wan. A la suite d’un procès fantoche et vite expédié, Anakin et Padmé furent condamnés à mort. Persuadée que la fin était proche, Padmé avoua alors la profondeur de ses sentiments au jeune Jedi et ils échangèrent ce qu’elle pensait être un dernier baiser. Puis ils furent conduits dans l’arène où, décidée à vendre chèrement sa peau, Padmé lutta contre le nexu chargé de la tuer. Alors que tout semblait perdu pour les trois condamnés, 200 Jedi arrivèrent dans l’arène et les aidèrent à combattre l’armée droïde des Séparatistes dans ce qui devint la Bataille de Géonosis. La jeune femme prit une part active dans ces "négociations musclées".

Pendant l’absence de Padmé, Jar Jar avait été conduit à proposer une mention accordant les pleins pouvoirs à Palpatine. Le premier acte de celui-ci avait été de créer une Grande Armée de la République et Maître Yoda était allé chercher des troupes de soldats clones qui arrivèrent à temps pour aider les survivants de l’arène de Géonosis. Alors qu’ils pourchassaient le Comte Dooku dont la capture, Padmé en était persuadée, mettrait fin au conflit, la jeune femme tomba de la canonnière TIO/BA qui la transportait avec Anakin et Obi-Wan. Quand elle arriva finalement au hangar de Dooku avec d’autres troupes, ce ne fut que pour voir celui-ci s’enfuir dans son voilier solaire. Elle retrouva ensuite Anakin, qui avait perdu son bras droit lors de son duel contre le leader séparatiste. Après la Bataille de Géonosis, Anakin fut chargé de ramener la sénatrice sur Naboo. Là, à Varykino, les deux jeunes gens se marièrent en secret avec pour seuls témoins un prêtre, R2-D2 et C-3PO.






P.S: suite au post suivant.
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MessageSujet: Re: Padmé Amidala Naberrie   Padmé Amidala Naberrie Icon_minitimeDim 22 Oct - 18:43


IV. La tourmente de la Guerre des Clones (-22 à -19) :

Le jeune bonheur de Padmé et d’Anakin fut rapidement rattrapé par la réalité. La Bataille de Géonosis n’avait été que le prélude à une longue guerre entre les mondes loyaux à la République et les Séparatistes. Très vite, les Jedi furent chargés de diriger les troupes clones en tant que généraux pour les plus expérimentés. Bien qu’il n'était encore que Padawan, Anakin partit sur le front aux côtés de son Maître Obi-Wan Kenobi. Les instants volés des deux jeunes époux n’en furent que plus rares à cause de l’éloignement de la guerre. Padmé Amidala trouva un certain réconfort grâce à la présence de C-3PO, le droïde qu’Anakin avait construit enfant et qu’il lui avait confié. Le droïde de protocole était ravi de mettre en pratique ses fonctions première, et à mesure que se déroulait la event_gdc>Guerre des Clones, Padmé le considéra de plus en plus comme un membre à part entière de sa délégation sénatoriale. Autant par affection pour Anakin et C-3PO que pour intégrer le droïde dans la société policée de Coruscant, elle le fit recouvrir d’un revêtement doré brillant. Malgré l’éclatement de la guerre, Padmé demeura l’avocate de la diplomatie, mais sa voix avait bien du mal à se faire entendre alors que résonnaient les canons de la guerre. De plus, sa propre vie était plus menacée que jamais. En effet, la Confédération des Systèmes Indépendants, et plus précisément l’un de ses leaders, le vice-roi Nute Gunray, avait placé une prime faramineuse sur la tête de la sénatrice de Naboo.

Plus que jamais, Padmé partageait son temps entre Coruscant et Naboo, étroitement protégée par le fidèle capitaine Typho. Ses retrouvailles avec son époux étaient rares et intenses, car il était constamment envoyé sur les fronts de combat les plus cruciaux. Cependant, ils parvinrent à entretenir une correspondance secrète durant toute cette période troublée. La fidélité affirmée de Padmé et de sa planète à la République fit de Naboo une cible pour les Séparatistes. Si Naboo fut épargnée par les combats, elle fut à plusieurs reprises choisies par leurs adversaires pour tester de nouvelles armes biologiques. Dix semaines après le début du conflit, les Séparatistes infectèrent une des lunes de Naboo, Ohma-D’un, avec ce qui fut appelé le Gaz des Marais. Heureusement, Obi-Wan parvint à mettre la main sur l’antidote avant que celui-ci devienne une menace d’envergure. Deux ans plus tard, Naboo fut également choisie pour cible pour une autre arme biologique, la TriHexalophine 1138, mais le vaisseau transportant la toxine fut abattu avant d’atteindre Naboo.

Quatre mois après la Bataille de Géonosis, Maître Yoda voyageait à bord du yacht naboo de Padmé lorsqu’il ressentit une perturbation dans la Force. En effet, le sanctuaire sur Ilum, source de cristaux pour sabres laser, était attaqué par la Confédération. Padmé, désireuse d’apporter son aide aux Jedi, accepta de conduire Yoda sur la planète glaciale. Malgré les conseils de prudence du capitaine Typho, elle se rendit également sur la planète et participa au sauvetage du Maître Jedi Luminara Unduli et de sa Padawan Barriss Offee. Durant le conflit qui s’éternisait, la jeune femme fut à la fois très inquiète pour la vie de son époux et fière de ses exploits au service de sa chère République. Pilote d’exception, Anakin Skywalker acquit rapidement une grande célébrité et devint une figure héroïque des nouvelles de l’HoloNet, qui l’avait surnommé le Héros sans Peur.



20 avant la Bataille de Yavin, un scientifique du nom de Talesan Fry conçut un briseur de code. Lorsqu’elle apprit que Fry avait demandé la présence des Maîtres Jedi Obi-Wan Kenobi et Siri Tachi, et qu’un sénateur devait représenter la République, Padmé Amidala se porta volontaire, autant pour avoir l’occasion de passer du temps avec son époux que pour accomplir son devoir de sénatrice dans une délicate mission diplomatique qui pouvait conduire à la fin du conflit. Lorsque Anakin tenta de lui ordonner de se dessaisir de la mission, Padmé ne crut pas sérieusement que son mari lui demandait de passer outre son sens du devoir et crut à un moment de faiblesse. Padmé obtint le concours de Fry, mais le groupe fut alors attaqué par un chasseur de primes, à la solde de Passel Argente, du nom de Magus. Ils rejoignirent la base républicaine d’Azure, mais ils avaient été suivis par les Séparatistes, qui attaquèrent la base. Padmé et Talesan Fry partirent de leur côté, mais furent attaqués par Magus. Siri Tachi récupéra leur capsule de sauvetage, mais Magus les attaqua de nouveau. La Jedi tenta alors une manoeuvre audacieuse qui permit la capture du chasseur de primes. Mais Siri avait été mortellement blessée et mourut dans les bras d’Obi-Wan.

Deux ans et demi après la Bataille de Géonosis, Anakin accéda au rang de Chevalier Jedi et lui offrit alors, dans le plus grand secret, sa tresse de Padawan que l’on venait symboliquement de lui couper. Padmé reçut ce présent avec émotion et fierté. En échange, elle lui offrit alors R2-D2 pour qu’il devienne son droïde astromécano attitré. Deux mois plus tard, Anakin bénéficia d’une permission et retrouva son épouse à Varykino pour de tendres retrouvailles. Malgré les propos optimistes du Jedi, Padmé sentait que la guerre n’était pas encore terminée, même si la République l’emporterait bientôt, que le calme ne reviendrait pas facilement dans la galaxie. Malheureusement, Obi-Wan écourta leurs retrouvailles pour entraîner Anakin à la poursuite d’Asajj Ventress. Même si son mari était convaincu d’avoir tué la Jedi Noire au prix d’une nouvelle blessure de guerre, la jeune femme savait qu’il devait partir accomplir son devoir. Même si les retrouvailles entre Padmé et Anakin furent de courte durée, elles ne furent pas sans conséquences. En effet, Padmé découvrit bientôt, avec un mélange de joie et d’appréhension, qu’elle portait désormais l’enfant d’Anakin.

Son mariage étant toujours un secret, et en raison de sa position politique importante, Padmé dut dissimuler son état aux yeux de tous en portant des tenues masquant sa silhouette. Si la nouvelle de sa grossesse s’était repandue, la nouvelle reine Apailana l’aurait sans aucun doute démise de ses fonctions au Sénat. Seules ses fidèles suivantes Motée et Ellé connaissaient son secret et savaient sans doute également qu’Anakin Skywalker était le père de son enfant à naître. Elle en informa sans doute également le discret et perspicace capitaine Typho. Mais comme elle avait tu son mariage, elle cacha sa grossesse à sa famille. Mais elle savait que tôt où tard, elle ne pourrait plus cacher son état. De nombreuses questions la torturaient : comment Anakin accueillerait cette nouvelle qui risquait de compromettre son avenir ? Que ferait-elle quand l’enfant sera né ? En cette période d’incertitudes où des rumeurs couraient sur la mort d’Anakin, Padmé était incapable de réfléchir à l’avenir.
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Nausicaa
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MessageSujet: Re: Padmé Amidala Naberrie   Padmé Amidala Naberrie Icon_minitimeDim 22 Oct - 18:44

V. La chute de la République (-19) :

Outre la Guerre des Clones qui déchirait la galaxie, la République se trouvait dans une situation troublée. Amendement après amendement, Palpatine grignotait la Constitution de la République et affaiblissait le Sénat. Mais Padmé avait bien trop de soucis personnels entre les dangers que couraient Anakin sur le front et la dissimulation de sa grossesse pour en mesurer l’importance. Ce ne fut que lorsque le Chancelier Palpatine fut enlevé par le Général Grievous sur Coruscant que le Conseil Jedi rappela Anakin. Padmé fut heureuse de revoir son époux après une séparation de cinq mois et inquiète de sa réaction face à l’annonce de sa grossesse, qui mettait en péril leur secret. Mais Anakin fut ravi par cette nouvelle et manifesta son désir de cesser de cacher leur amour. Rassurée par la présence d’Anakin, Padmé put enfin réfléchir à l’avenir. Elle envisageait de rentrer à Varykino avant l’accouchement pour préparer la chambre du bébé. Elle envisageait également d’y mettre au monde leur enfant, dans cette maison où ils avaient toujours été heureux et qui avait vu naître leur amour.

Mais comme pour sa mère trois ans plus tôt, Anakin était hanté par des cauchemars où il voyait Padmé mourir en accouchant. En l’apprenant, la jeune femme se montra d’abord inquiète pour la survie de son enfant, puis tenta de rassurer son époux : même dans les bas-fonds de Coruscant, plus aucune femme ne mourait en couches. Mais Anakin devint dès lors obsédé par ses visions et déterminé à trouver un moyen de la sauver. Padmé aimait profondément Anakin et elle aimait aussi le fait qu’il soit un Jedi malgré toutes les difficultés que cela engendrait pour eux. Elle était fière qu’il soit un des défenseurs de la galaxie et pour rien au monde elle n’aurait voulu qu’il renonce aux Jedi pour elle. En effet, le sens du devoir et l’amour de la démocratie étaient profondément ancrés chez Padmé ainsi que la notion de sacrifice personnel, elle qui avait longtemps fait passer son devoir avant sa vie privée. Mais l’amour et l’admiration qu’elle portait à Anakin, ainsi sans doute que son manque d’expérience sentimentale, firent que la jeune femme ne perçut pas les faiblesses de caractère de son époux comme sa colère, sa possessivité envers elle et son arrogance. Au contraire, ses traits de caractère devaient le faire paraître que plus humain à ses yeux.

De même, Padmé ne se rendit pas compte du mépris que son époux éprouvait à l’égard de sa profession, qui représentait un véritable sacerdoce pour elle. En secret, le Jedi avait espéré la voir démissionner juste après leur mariage et trouvait son travail inutile et dangereux. Le mépris d’Anakin pour les politiciens n’avait fait que croître durant la guerre tandis que grandissait l’influence de Palpatine sur lui. En effet, le Chancelier avait su s’attirer la sympathie et la fidélité du jeune Jedi en le flattant et lui accordant un accès direct à son bureau dès qu’il désirait lui parler. Padmé était également loin de se douter que Palpatine n’ignorait rien de leur mariage grâce à ses relations avec le clergé naboo. Depuis le blocus de Naboo, Padmé éprouvait un grand respect pour Palpatine, qu’elle considérait comme un second père et dont elle écoutait les conseils avisés, et pensait qu’il était un partisan sincère de la démocratie. Ce ne fut que lors d’une réunion avec plusieurs sénateurs loyalistes autour de Bail Organa et Mon Mothma que la sénatrice de Naboo comprit que le Chancelier avait réussi à accaparer un trop grand pouvoir, fragilisant ainsi la démocratie. La menace se cristallisa lorsque fut promulgué le décret sur les gouverneurs de secteur, qui menaçait le système démocratique lui-même en accaparant des pouvoirs dévolus au Sénat.



Alors que les sénateurs Organa et Mothma envisageaient d’entamer une lutte secrète et organisée contre Palpatine, l’idéaliste Padmé préféra tenter une dernière approche diplomatique et proposa de réunir les sénateurs pour destituer légalement le Chancelier. Elle répugnait en effet à participer à une guerre civile et surtout à cacher des choses à Anakin, qui éprouvait un grand respect pour le Chancelier. Padmé fut très fière d’Anakin en apprenant sa nomination au Conseil des Jedi, mais son mari ne partageait pas son enthousiasme, blessé dans son orgueil qu’on lui ait refusé le rang de Maître Jedi à cause de sa jeunesse et de sa connexion avec Palpatine. Comprenant que les Jedi se méfiaient eux aussi du Chancelier, Padmé lui fit part de ses doutes sur l’avenir de la République en lui cachant néanmoins l’existence d’un parti d’opposition et lui demanda d’user de son influence sur Palpatine pour lui demander de chercher désormais une solution diplomatique à la guerre, puisque le leader de la COnfédération, Dooku, était mort. Pour la première fois, le jeune couple connut des tensions et leurs divergences d’opinions apparurent.

Lors d’une nouvelle réunion avec certains de ses collègues Sénateurs, Padmé émit des doutes sur la réussite de leur action et proposa de demander l’aide des Jedi, d’un Jedi en particulier. Alors qu’elle voulait surtout cesser de cacher des choses à l’homme qu’elle aimait, Padmé se rendit compte avec consternation que l’homme de confiance dont elle parlait n’était pas Anakin, mais Obi-Wan Kenobi. Elle comprit dès lors que la guerre et la situation politique les avait conduits sur deux chemins séparés, mais gardait encore l’espoir de voir les choses d’arranger. A son insu, Palpatine amenait Anakin à douter d’elle et lorsqu’elle se rendit dans le bureau du Chancelier à la tête de la Délégation des 2000, elle eut la surprise de trouver Anakin à ses côtés. Malgré le fait que son mari marquait ainsi où allait sa fidélité et qu’ils étaient dans des camps opposés, Padmé fit preuve de son calme légendaire et présenta alors le Manifeste des 2000 au Chancelier. En dépit des assurances de Palpatine, elle ne crut pas un instant qu’il renoncerait au pouvoir qu’il était parvenu à se faire octroyer. Elle savait désormais qu’elle avait perdu confiance en deux de ses plus précieux soutiens.

La nuit suivante fut une des plus éprouvantes que connut Padmé : en effet, des volutes de fumées s’échappaient du Temple Jedi. Bien qu’elle n’ait pu obtenir aucune information à ce sujet, il était évident que les Jedi avaient de gros problèmes et elle passa la nuit à s’inquiéter pour son époux, qu’elle savait être sur place. Devant une telle incertitude, sans compter que leur dernière entrevue avait été houleuse, la courageuse Padmé craqua et pleura longuement. Ce ne fut qu’à l’aube qu’elle fut soulagée de son angoisse lorsque le chasseur d’Anakin se posa sur sa véranda. Son mari lui raconta alors que le Temple avait été attaqué en représailles car les Jedi auraient tenté de tuer Palpatine et de renverser la République. Sans émotion, il lui annonça également que les Jedi qui refuseraient de se rendre seraient exécutés et qu’elle-même devait rompre avec ses amis du Sénat.

Derrière ces paroles, Padmé sentit avec horreur que son mari la menaçait et que la destruction de la République était en marche. Elle fut sidérée et inquiète de la facilité avec laquelle il s’était retourné contre ceux qu’il considérait jusqu’ici comme sa famille. Il est fort probable que dans son for intérieur, Padmé se soit alors demandé s’il pourrait se retourner aussi facilement contre elle si elle déviait de la voie qu’il avait choisi. Elle l’implora alors de quitter Coruscant, de partir quelque part où ils seraient seuls, en sécurité. Loin de Palpatine et de sa dictature. Mais Anakin ne comprit pas ses craintes ou refusa de les comprendre, arguant qu’ils seront en sécurité une fois qu’il aurait mis fin à la guerre en tuant les leaders séparatistes sur Mustafar. Alors qu’il partait, elle ne put s’empêcher de pleurer, sentant inconsciemment que l’homme qu’elle avait aimé et épousé était mort cette nuit-là.



Bientôt un Palpatine défiguré convoqua le Sénat en session extraordinaire durant laquelle il ne cessa de porter des accusations contre les Jedi, prétendant que ceux-ci avaient tenté de le tuer, mais aussi de renverser le Sénat. Avec amertume, Padmé comprit vite où cela les conduisait et n’éprouva aucune surprise quand il instaura l’Empire Galactique. Plus pour elle-même que pour Bail Organa à ses côtés, Padmé remarqua tristement que c’était sous les applaudissements que mourait la liberté. Lorsque le sénateur d’Alderaan voulut déposer une motion pour mettre fin à cette folie, elle l’arrêta sur le champ : Palpatine avait déjà fait arrêter certains de leurs partisans et il était certain qu’il ferait de même avec tous les membres de la Délégation des 2000. Elle lui conseilla alors de voter pour l’Empire et de conseiller à Mon Mothma de faire de même, de se soumettre en apparence pour poursuivre la lutte secrète qu’ils avaient esquissé. Bail Organa s’inquièta alors de la propre situation de Padmé, qui avait présenté en tête le Manifeste des 2000, mais celle-ci était pratiquement convaincue de mourir avant d’éventuelles représailles... Car une grande partie de son être était déjà morte avec la République, avec l’ancien Anakin.

Dans la soirée, Obi-Wan Kenobi vint chez elle, et en le voyant en vie, Padmé ressentit une joie intense. Mais lorsqu’il lui demanda où se trouvait Anakin, elle prétendit l’ignorer. Obi-Wan lui apprit alors que Palpatine était un Seigneur Sith et qu’Anakin avait basculé du Côté Obscur. Anakin était devenu dangereux et avait massacré jusqu’aux enfants du Temple Jedi : il devait être mis hors d’état de nuire. Sous le choc, Padmé fit un malaise et demanda au Jedi de partir car elle ne l’aiderait jamais. Elle ne pouvait croire qu’Anakin ait changé à ce point, qu’il ait commis de tels crimes même si elle avait eu l’impression d’être mariée à un inconnu ses derniers jours, même si elle se rappelait douloureusement du massacre de toute la tribu de pillards Tuskens responsables de la mort de sa mère, mêmes les enfants innocents. Pour en avoir le coeur net, Padmé décida alors de partir à bord de son esquif afin de rejoindre Anakin sur Mustafar et, malgré les protestations de Typho, elle s’en alla seule avec C-3PO. A son insu, Obi-Wan se glissa à bord et tandis qu’ils se dirigeaient vers Anakin, elle se laissa aller à son désespoir. Toute sa vie, Padmé avait affronté bravement les difficultés qu’elle rencontrait, sans jamais se laisser abattre, mais à présent ses larmes semblaient ne plus pouvoir s’arrêter de couler... Jamais elle n’avait été aussi malheureuse qu’à la veille de donner la vie.




Lorsqu’elle atterrit sur Mustafar, elle se jeta dans ses bras, soulagée de retrouver Anakin vivant et amoureux. Elle lui parla de ses inquiétudes, de ce que lui avait dit Obi-Wan sur lui, et en prononçant ces mots, elle eut l’impression d’être enfin soulagée du poids qui pesait sur son cœur. Mais contrairement à ses attentes, il ne nia pas les accusations de son ancien Maître. Padmé eut l’impression qu’Anakin était désormais un inconnu. Il n’éprouvait aucun remords pour ses crimes et pour avoir provoqué la mort de sa chère République. Horreur ultime, il prétendit même avoir fait tout cela, toutes ces choses contraires aux valeurs de Padmé, à ce à quoi elle avait consacré toute son existence, pour elle. Malgré tout, elle l’aimait toujours et en larmes, elle le supplia à nouveau de partir avec elle, avant que les choses empirent, mais l’homme qui était désormais le Seigneur Sith Dark Vador refusa. Il voulait rester près du pouvoir et envisagea même qu’une fois que Palpatine aurait exercé sa main de fer, une fois qu’il serait un tyran détesté de tous, qu’ils pourraient régner, elle et lui, côte à côte.

Profondément choquée, Padmé recula et lui dit alors qu’Obi-Wan avait raison : il avait changé. Malgré ses menaces, elle ne pouvait le suivre sur cette voie. Elle ne pouvait renier tout ce qu’elle était, tout ce en quoi elle croyait comme il l’avait fait. Une dernière fois, elle le supplia de revenir du côté du bien, mais il l’accusa alors de l’avoir trahi. Padmé suivit son regard et vit avec horreur Obi-Wan se dresser sur la passerelle de son esquif. Aveuglé par le Côté Obscur, persuadé qu’elle l’avait trahi, Vador utilisa alors la Force pour étrangler celle au nom de qui il avait vendu son âme, malgré ses supplications. Quand il relâcha son étreinte, Padmé s’effondra sur le sol comme une poupée de chiffon. R2-D2 et C-3PO transportèrent tant bien que mal le corps inanimé de Padmé à bord de l’esquif. Entre-temps, Obi-Wan avait triomphé de son adversaire, en le blessant mortellement - du moins le croyait-il. Le Jedi fit discrètement décoller l’esquif naboo alors qu’atterrissait la navette du nouvel Empereur. Obi-Wan se rendit ensuite sur une base secrète dans la ceinture d’astéroïdes de Polis Massa, où l’attendaient Yoda et Bail Organa afin que soient prodigués des soins médicaux à la jeune femme de toute urgence.
Bien que les droïdes médicaux ne se l’expliquaient pas, Padmé se mourait. En réalité, son mal n’était pas physique : la jeune femme avait été sévèrement touchée au cœur et à l’âme. Parce qu’il était prêt à tout pour la protéger, Anakin était devenu un monstre qui avait tué leur amour et détruit tout ce en quoi elle croyait : la démocratie et la liberté. Elle n’était déjà presque plus qu’une coquille vide. Bien qu’elle ait perdu toute envie de vivre, Padmé s’accrocha encore à l’existence, suffisamment longtemps pour mettre au monde l’enfant d’Anakin, dernier vestige de leur amour. Alors que le travail avait commencé, elle donna ses dernières volontés à Obi-Wan, qui tenait sa main déjà si froide. Si l’enfant était une fille comme le voulait Anakin, elle devrait s’appeler Leia. Mais ce fut le petit garçon qu’elle avait espéré que lui présenta Obi-Wan. Trop faible pour le prendre dans ses bras, elle lui caressa tendrement la joue et murmura avec un dernier sourire le nom de Luke. Puis, Padmé mit au monde une fille, Leia, à qui elle adressa un premier et unique regard avant de glisser dans la main d’Obi-Wan son plus précieux trésor, le pendentif que lui avait offert Anakin bien des années auparavant et qui ne l’avait jamais quitté depuis lors. Elle lui murmura alors qu’il y avait toujours du bon en Anakin. Puis Padmé Amidala Naberrie s’éteignit, alors que sur Coruscant, Dark Vador était revêtu de sa tristement célèbre armure noire.
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MessageSujet: Re: Padmé Amidala Naberrie   Padmé Amidala Naberrie Icon_minitimeDim 22 Oct - 18:44

VI. L’héritage de Padmé (-19 à 36) :

Suite au décès de Padmé, Yoda et Obi-Wan décidèrent de séparer les jumeaux et de les cacher de la malveillance de l’Empereur et de Dark Vador. Le corps de Padmé fut rendu aux Naboos, sans doute par Bail Organa et sur les conseils de Yoda, on fit croire qu’elle était toujours enceinte et que l’unique enfant qu’elle portait était mort in utero avec elle. La mort de Padmé fut un immense choc pour la population de Naboo qui lui accorda des funérailles d’Etat. Des milliers de Naboo assistèrent à ses funérailles et pleurèrent celle que tous considéraient comme la plus grande souveraine qui ait jamais régné sur Naboo. La famille Naberrie au complet fit partie du triste cortège funéraire, les adultes regrettant sans doute que Padmé n’ait pas mis fin à sa carrière politique pour mener une vie paisible sur Naboo. Tous ignoraient que la jeune Pooja Naberrie, âgée alors de sept ans, succéderait un jour à sa tante comme sénatrice du Secteur de Chommell.

Outre son décès, sa grossesse cachée troubla les Naboo mais comme le voulait leurs traditions, il fut décidé que sa vie privée serait respectée et aucune enquête ne fut ouverte pour découvrir le géniteur de l’enfant. La version officielle de l’Empire était que Padmé avait été assassinée par les Jedi durant les événements qui avaient vu l’instauration de l’Empire. La reine Apailana, qui régnait alors sur Naboo, récusa en privé cette explication et entama une lutte secrète contre l’Empire, notamment en refusant d’impérialiser les noms des organes de son gouvernement et en accueillant en secret des Jedi. Elle devint quelques années plus tard la victime de la Grande Purge Jedi.



Quant aux jumeaux, ils grandirent loin l’un de l’autre, dans des milieux radicalement différents. En ce qui concerne Leia, elle fut confiée au sénateur Bail Organa et à la reine Breha Antilles Organa et reçut une excellente éducation. Bien que les Organa aient désiré ardemment adopter une petite fille depuis que les fausses couches répétées de la reine lui avaient interdit toute nouvelle grossesse, Leia eut une enfance ennuyeuse et solitaire et passait plus de temps avec des droïdes qu’avec ses parents adoptifs, qui se consacraient aux affaires politiques. Sans le savoir, Leia avait hérité de sa mère sa petite taille et ses cheveux bruns, ainsi que son sens du devoir, son courage et son amour de la démocratie. Comme Padmé, Leia croyait en la diplomatie et au pacifisme, mais elle savait que parfois, pour défendre ses idéaux, il fallait se battre. A seize ans, Leia Organa succéda à son père adoptif en devenant la plus jeune sénatrice jamais élue. Quant à Luke, il fut confié au beau-frère d’Anakin et à sa femme, Owen et Beru Lars. Il eut une enfance modeste dans le ferme hydroponique isolée sur l’inhospitalière Tatooine. Biggs Darlighter fut son seul véritable ami, ses autres camarades voyant plutôt en lui un paysan naïf et mal dégrossi. Ce ne fut qu’à la mort de Yoda que Luke apprit l’existence de sa soeur et il comprit alors qu’il s’agissait de Leia. Peu avant la Bataille d’Endor, il demanda à celle-ci si elle se souvenait de sa mère et, étrangement, celle-ci répondit par l’affirmative. Elle se souvenait d’une femme très belle mais triste, et d’une cachette dans un arbre.

Padmé étant morte presque immédiatement après la naissance de sa fille, il est donc impossible que Leia l’ait connu enfant. Il est probable que le fait que Leia soit née juste avant la mort de Padmé ait provoqué la transmission des bribes de souvenirs ou des sensations au nouveau-né par le biais de la Force. Au cours des années suivantes, Luke et Leia tentèrent de découvrir des informations sur leur mère. C-3PO et R2-D2, qui ironiquement avaient appartenu aux deux générations, fouillèrent pour eux les bibliothèques d’Obro-Skai. Ils contactèrent également les esprits de tous ceux qui avaient pu la connaître, mais n’obtinrent aucune réponse. Luke parla alors d’une conspiration du silence. Durant de nombreuses années, Leia Organa fit face à des pseudo-mères. Durant la période entre l’installation de Leia Organa Solo sur Coruscant et la Crise de la Flotte Noire, soit entre sept et seize ans après la Bataille de Yavin, plus de 200 femmes se présentèrent en prétendant être leur mère. Leia fut peinée et fâchée de cette débauche de prétendantes, dont certaines n’avaient pas l’âge requis ou n’étaient parfois même pas humaines. En outre, Leia était persuadée que sa mère était morte depuis de nombreuses années. Les membres de l’équipe de sécurité appelaient ces femmes les Mamies Aliénées.
Peu avant l’éclatement de la Crise de la Flotte Noire, Luke Skywalker fut contacté par une jeune femme, Akanah, qui prétendit que sa mère était une Fallanassi du nom de Nashira. Il tenta de sonder Leia et les jumeaux se fâchèrent sur ce sujet. Leia avait abandonné tout espoir de découvrir un jour l’identité de sa mère et bientôt, Luke dut se ranger à son avis en comprenant qu’Akanah s’était servie de lui. 35 ans après la Bataille de Yavin, R2-D2 projeta involontairement un hologramme dans lequel Anakin racontait à Padmé le rêve où il la voyait mourir en accouchant alors que Luke le réparait. Dès lors, Luke et Leia surent que leur mère était la sénatrice Amidala qui avait trouvé la mort dans les premiers jours de l’instauration de l’Empire. Il leur fallut attendre encore un an pour accéder à d’autres enregistrements de R2. Mais ce qui est sans doute le plus tragique est sans doute le fait que Luke et surtout Leia eurent maintes fois l’occasion de "voir" leur vraie mère sans se douter un instant de leur lien. En effet, un grand portrait de Padmé trônait dans le Palais Impérial de Coruscant et était encore en place à l’époque de la Crise de Thrawn, soit 28 ans après sa mort...
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